Les Nuits de l'Alligator (Part Two)

   Suite des découvertes dans le cadre du festival de l'Alligator :

   * Elliott Brood : Excellent découverte scènique. Loin d'être révolutionnaires, on peut dire qu'ils jouent du "country-punk" avec banjo, ukulélé, harmonica et une énergie communicative.
   à voir : photos de Cédric Chort
   à lire : review
   à acheter : "Mountain Meadows" sorti en décembre 2008   

   * Jim Jones Revue : On retrouve une bonne dose de John Spencer dans ce groupe qui joue à fond du début à la fin un rock'n'roll teinté de soul et de rockabilly. Le public du Grand Mix, vestes en cuir et gomina de rigueur, était conquis d'avance par le leader charismatique et le clavier fou omnipresent. Trés bon moment même s'ils sont fatiguants à suivre.   

   * O'Death : Ils portent le nom d'une poignante chanson de Ralph Stanley dans la BO de "O Brother" et pourtant, ils sont la joie de vivre incarnée. Eux aussi remettent le banjo à la mode et aiment jouer sous les porches pour la Blogothèque.

   * Samuel James (bis) : Je me permet de remettre une couche avec Samuel James parce que son album est merveilleux et en particulier cette chanson : 'Wooooooo Rosa' avec 7 "o" comme les 7 minutes du plus beau blues instrumental que je n'ai jamais entendu de ma vie.